Le 12 juin marque la Journée mondiale contre le travail des enfants.
D’après la Convention Internationale des Droits de l’Enfant :
Les Etats parties reconnaissent le droit de l’enfant d’être protégé contre l’exploitation économique et de n’être astreint à aucun travail comportant des risques ou susceptible de compromettre son éducation ou de nuire à sa santé ou à son développement physique, mental, spirituel, moral ou social.
Article 32.1 de la CIDE
Nombreux sont les enfants qui aujourd’hui encore sont contraints de travailler d’une façon qui compromet leur éducation, les prive des plaisirs de l’enfance et supprime leur droit à un développement physique et mental normal.
L’association s’engage dans la prévention contre l’exploitation et les abus sexuels à travers un programme de sensibilisation et de renforcement des familles pour empêcher l’abandon de l’enfant mais également l’isolement de la famille par rapport à la communauté : soutien à la parentalité pour prévenir le placement, accompagnement thérapeutique des familles vulnérables, créations de lieux communautaires …
L’exploitation des enfants est très souvent liée à la vulnérabilité des familles. La protection contre les abus et négligences est vitale. SOS Villages d’Enfants entend par ailleurs protéger les droits des victimes d’exploitation et d’abus sexuels à travers la promotion d’une coopération nationale et internationale.
A Madagascar, SOS Villages d’Enfants collabore par exemple avec l’Organisation Internationale du Travail au programme international d’élimination du travail des enfants :
- sensibilisation auprès des enfants et parents, pour prévenir
- sensibilisation auprès des enfants et des parents pour identifier ces enfants
- formation des plus grands.
Retrouvez ci-dessous le programme court Qui m’aime m’écoute ! sur le droit de ne pas être exploité :