« C’est mon village, c’est ma famille, ce sont « mes » enfants… Ma plus belle expérience, c’est d’avoir une grande famille et de sentir l’harmonie familiale.
Le plus difficile, c’était au cours des premières années parce que les enfants avaient des âges différents et qu’ils venaient de régions différentes. La mère SOS doit guider les enfants, leur donner des conseils, soutenir leur développement personnel et professionnel…
Quand ils grandissent, je leur raconte d’où ils viennent et comment ils vivaient auparavant. Tous « mes » enfants doivent connaître leurs origines et l’histoire de leur famille.
J’aimerais qu’ils soient toujours en bonne santé, qu’ils deviennent des citoyens indépendants, avec un bon travail. Et j’espère aussi que le lien émotionnel qui nous unit restera, que nous serons liés à jamais… ».